Un acrobate s’amuse avec un étrange objet, à la fois instrument de musique et engin de cirque inédit : une sorte de culbuto en bois contraint par une ligne métallique, un arc à taille humaine. De quoi inviter son propriétaire à des utilisations complètement farfelues ! Son complice comédien et musicien crée en direct la bande-son insolite de cette performance drôle, poétique et résolument conviviale. Devant ce bateau ivre qui tangue, on rit, on retient son souffle, et on se laisse embarquer !

À Mesure – Handle with care (tenir avec précaution) » évoque les forces et les fragilités d’une relation à deux. À travers le langage de la roue Cyr, deux femmes offrent un regard sur leur espace intime, leur quotidien, en s’armant de patience et en se jouant du temps qui passe. Il y a une roue, il y a une cuisine, il y a des œufs. Et il y a elles, sensibles, vraies, engagées. Au risque de l’amour, elles portent sur scène une histoire réconfortante, à la recherche d’un rythme qui les mène l’une à l’autre.

Une fois encore, on fait la fête, on rit, on chante et on jure en attendant la fin du monde. En détournant notre regard des véritables causes de notre perte et continuant ainsi sans relâche à faire fonctionner la machine à détruire la planète, nous nous précipitons inévitablement vers le chaos. Une famille de forains présente fièrement son stand APOCALYPSO : un jeu de foire grotesque reflétant l’image d’une société du « après nous, le déluge ».

Ils sont comme nous, petits, grands, costauds,maigres, énormes, joyeux, en colère, tristes, moustachus, poilus… ils sont notre oxygène.

Venez leur donner forme humaine, des yeux, un nez, des oreilles, une bouche à l’Atelier d’Art du Grand Verdun. Modelage, peinture, pour tout public.

Un(e) musicien(ne) sommeille en chacun de nous. Ivan Gruselle vous propose de goûter au plaisir de jouer de la musique ensemble le temps d’une initiation simple et ludique : entendre autrement, laisser les mains jouer, créer collectivement avec des instruments issus des cinq continents.

Barto est un gentil personnage quelque peu excentrique qui sait plaire à son public autant par ses exploits techniques que par ses trucs loufoques.

Contorsionniste, clown, il se définit plutôt comme un comique acrobatique. Il faut voir ce personnage lunaire coiffé d’un casque en cuir d’antan passer un cintre. Barto jongle avec des torches enflammées, en équilibre précaire sur une jambe et sur un fil. Il imite des animaux avec pour seul accessoire un gant de vaisselle rose et ses talents de mime.

Une danseuse, une comédienne et un musicien plongent au cœur des mots de Boris Vian… au cœur de l’Ecume des jours, de sa poésie déjantée, ses chansons anarchistes, son humour grinçant, noir, et son regard tendre et poignant.

“Biglemoi” tisse et montre cet univers vianesque, au cœur de l’humain, toujours en marge, et en décalage. Entre jeux de mots et jeux de corps, gestes et textes s’entrelacent et dialoguent, teintés de jazz .

Des personnages attachants et des espaces en distorsion, une société inversée, une métaphore du monde, un surréalisme cruel, et au milieu, deux êtres confrontés au tragique de l’existence.

“Biglemoi” met en scène les personnages sensibles, en quête d’amour, de l’Ecume des jours, son urbanisme et son ingénierie extravagante et fantaisiste, pour tenter de raconter la fragilité de la vie humaine.

La danseuse, la comédienne et le musicien incarnent les personnages du roman, dans un jeu de glissements de l’un à l’autre. Un trio à plusieurs strates.

L’idée d’étouffer votre enfant dans son bol de céréales vous a peut-être déjà effleuré l’esprit ? Tout bon parent qui se respecte peut avoir ses moments de faiblesse.

Pour y remédier, la compagnie Boite à Clous vous propose un exutoire, une expérience sans précédent: une bataille sans merci entre parents et enfants travestis en samouraïs pour se battre contre leurs ennemis jurés : les ninjas !

Un moment d’orgie, pendant lequel vos jeunes apprentis ninjas pourront chevaucher des créatures fantastiques au milieu d’un déluge de projectiles. Pour les plus sportifs, il y aura aussi la possibilité de pédaler. Car tout le monde sait que les meilleurs carrousels sont à traction humaine.

Le tout se fera dans une ambiance festive, grâce à un dispositif musical composé d’un banjo mécanisé et d’un orgue de barbarie électronique produisant des airs à mi-chemin entre théâtre kabuki, musique country et techno hardcore !

Spectacle définitivement muet, résolument burlesque, tout public à partir de 3 ans sur les genoux de papa-maman

Après ses déboires, avec une cabine téléphonique, le Petit Monsieur poursuit son exploration des temps modernes. Que contiendrait aujourd’hui la boîte de Pandore, si ce n’est un de ces nouveaux objets qui ont envahi notre quotidien ? Technologiquement brillant, incroyablement confortable, mais tellement sournois. Paul Durand, toujours coincé dans son costumes trois pièces, va l’apprendre à ses dépens… Toujours sans une parole, pour tout public, et burlesque, la
suite des aventures du Petit Monsieur… débutée au Grand-Bornand, en 2008.

Amandine Barrillon et Ivan Chary créent en 1998 la Compagnie du Petit Monsieur et traquent l’incongru dans le quotidien. S’amuser des petites mésaventures qui transforment Monsieur-tout-le-monde en Clown bien malgré lui. Se battre contre une modernité sournoise. Faire sa fête au sérieux.

Sans prétendre renouveler un genre dont les maîtres s’appellent Chaplin, les Mikos, George Carl, ils s’inspirent de ces circonstances banales, au départ à peines décalées, en tout cas plausibles, et les font basculer doucement dans le burlesque. Ils jouent sur le comique de situation accentué par les vertus clownesques du mime et de l’acrobatie. Pour la seule jubilation de l’absurde et du rire.

Pour le ridicule, la franche bêtise, et la connerie heureuse…
Spectacle écrit par Ivan Chary et Amandine Barrillon

Mise en scène : Amandine Barrillon Jeu : Ivan Chary
Mentions obligatoires : La compagnie est autofinancée à 100% par choix, grâce à l’intermittence.

Le spectacle s’inspire du film « Le Bal » d’Ettore Scola, revisité avec nos disciplines circassiennes : la jonglerie et la manipulation d’objets en duo. Glissant d’un tableau à l’autre, nous donnons àvoir des rencontres, des moments de solitude, la
recherche de l’amour ou d’un simple contact physique, des histoires de couple…Invitant ainsi, au détour d’une danse, le public àprendre part au bal…

Avec : Alexandre Humez et Lyse Hélène Legrand
Mise en scène : Martin Thérain
Chorégraphie Claquettes : Patrick Dhaussy

Les élèves du Conservatoire de danse du Grand Verdun vous invitent à découvrir leur création chorégraphique, clin d’œil aux Jeux Olympiques : les étapes de l’athlète à travers le regard artistique, de la naissance de l’athlète, ses doutes, ses performances, ses échecs, son ascension jusqu’à sa réussite.

Une scène tridimensionnelle suspendue avec des danseurs évoluant dans un gigantesque cube !

Eventi Verticali investit les espaces verticaux sur lesquels les performeurs, soutenus par des harnais et suspendus à des cordes, dansent, sautent, courent, jouent…

Eventi Verticali est un langage qui rassemble différentes formes d’art,en commençant par le théâtre et le cirque, le graphisme, l’acrobatie, la danse et la musique, jusqu’à la comédie visuelle et les nouvelles technologies. Toutes ces différentes disciplines se réinventent et s’adaptent à des lieux verticaux insolites et impressionnants : tours, façades d’immeubles, clochers, murs, falaises, arbres et grands espaces.

Les assauts continus d’animaux nuisibles, la canicule, les vaines tentatives de la mairie pour rétablir l’ordre et les incivilités d’une cité voisine, transforment la ville en fournaise. Un soir, Madame Singer est retrouvée assassinée dans son appartement. L’arme du crime a disparu dans la nature avec dessus les empreintes de certains membres de la résidence.

Armé de sacs de farine empilés sur son dos, un homme se présente devant un rideau rouge d’où s’échappe une musique aux airs de saloon. Le rideau s’ouvre et laisse apparaître l’Atelier aux teintes des foires d’antan. Derrière son piano monté sur rail, elle l’attend. Elle maîtrise le temps par le son de son piano et donne le « La » de la confection des pizzas. Le piano résonne, la fumée s’évapore, elles arrivent, elles sont là : les pizzas. Il ne reste plus qu’à les mettre en boîte mais… Survolté par la musique, le pizzaiolo va alors leur donner vie par une manipulation qui va faire d’un simple geste usuel un exploit jonglé. La mélodie clownesque retentit : c’est la Gluten Rhapsody.

Welcome to the Gluten Rhapsody show ! Une symphonie en clown majeur et pizzas volantes qui ravira les yeux et les oreilles des grands et des petits. Dans un décor de velours et de bois, deux personnages loufoques s’activent à la fabrication des pizzas. Un cowboy se présente avec une commande : la chasse au chicken est alors ouverte.

Le public est invité à voyager dans une fresque lumineuse, un vitrail fabriqué en direct, une bande dessinée mouvante. Les images en mouvement s’entrelacent aux musiques spatialisées, se déployant dans l’épaisseur de l’espace et du temps. Le dispositif – grand mécanisme légèrement aléatoire – est créé comme un ensemble de fenêtres ouvertes qui offrent de multiples points de vue au spectateur, l’invitant à balader son regard et se laisser immerger dans les récits sonores, les sons imagés, et les textures amplifiées. 

Sept filles, ça ne pèse pas lourd dans ce monde. Alors on a pensé:“ Mais si on les empile? ” INO c’est nous, habillées de plusieurs couches de conventions sociales comme un peu tout le monde.

Mais toutes ces couches, c’est embêtant, ça entrave un peu le mouvement. Et puis on réalise vite que porter quelqu’un, c’est moins lourd que de porter une pression sociale au final.

Alors on s’agrippe par toutes les coutures et on se met à nu.

On s’agrippe les corps et on se porte, on se supporte.

Tout simplement parce que c’est ce qu’on aime faire, ensemble.

Distribution : Alba Ramiò i Güell, Chloé Lacire, Noémie Olphand, Juliette Ieva, Raphaëlle Rancher, Rebecca Vereijken, Aurélie Tercier.

Mentions Obligatoires (partenaires) : Cronopis Espai de Circ (Espagne), CIRCADA (Espagne), Piste d’Azur (Alpes-Martimes-France), La Central del Circ (Espagne), La nave del espacio (Espagne), L’Estruch Fàbrica de Creació de les Arts en Viu (Espagne), Cirko Vertigo (Italie), Académie Fratellini (Saint Denis), Extrême Jonglerie (Marseille), Château-Neuf Des Peuples (Gers-France), Fundació La Plana (Espagne), Latitude 50 – Pôle des arts du cirque et de la rue (Belgique).

Nous invitons le public dans notre institut pour se sentir encore bien-mieux. Il s’agit de vivre une expérience très heureuse avant tout. Au travers d’une installation immersive en plusieurs espaces bienveillants et ressourçants ; le public devient acteur tel un patient et l’installation fait œuvre collective évolutive. Simultanément nous devenons le plus simplement possible des dames et des hommes du soin accompagnant le public à s’emparer lui-même d’un moment de détente total, vibrant, créatif et porteur pour ses jours futurs.

Jeux d’adresse, de rapidité, de stratégie… Partagez un moment de plaisir et de détente autour des jeux anciens et surdimensionnés de la Ludothèque du Grand Verdun !

Josianes ou l’art de la résistance est un spectacle de rue qui mêle cirque, danse et danse verticale. Sur fond d’humour décalé, mêlant acrobaties, chorégraphies endiablées et chants polyphoniques, les quatre femmes de la compagnie JOSIANES nous racontent leurs aventures rocambolesques et explorent la notion de résistance au féminin. Décomplexé, authentique et engagé, drôle, mais saupoudré de vulnérabilité, le spectacle est une ode à la joie de vivre, à la féminité multiple et un bel hommage à nos grands-mères ! 

L’Affaire est Grave ! est une  satire sociale qui raconte l’arrivée d’un étranger amnésique dans un petit royaume perdu dans les nuages, elle met en scène un microcosme stéréotypé qui se trouve chamboulé par un élément extérieur et met en lumière les travers et limites de l’ordre établi.

Spectacle pluridisciplinaire, l’Affaire est Grave fait appel au langage du cirque, de la marionnette et de la magie nouvelle. D’après la bande dessinée POLITIQUE ÉTRANGÈRE de Lewis Trondheim et Jochen Gerner. 

Armés de ballons de gym et de baguettes de percussion, 5 artistes loufoques vous invitent à la Baguettaga : une batucada de l’absurde sur des ballons de yoga. Une batterie et des acrobaties rebondissantes. L’explosion des corps et la joie d’être ensemble ! Le temps d’un instant de lâcher-prise, les performeur·euses s’emportent à un rythme effréné dans une sorte de démence acrobatique où l’humour et le « n’importe quoi » règnent en maître. Un grand moment de folie douce !

Dans une ville paralysée par une grève des éboueurs, les ordures s’accumulent au soleil. Un soir de la semaine, Paul Poupon rentre chez lui fatigué par une longue journée de travail. Il est surpris d’apprendre que ses voisins ont tous rendez-vous chez lui pour faire une réunion.

Deux artistes et une drôle de bicoque mobile où l’on trouve tout ce qu’il faut (et plus encore) pour (re) découvrir le plaisir de créer, d’écrire, avec l’intention de l’envoyer à quelqu’un, un proche ou un inconnu…

Un endroit pour rêver et laisser libre court à sa créativité…

En quête de rencontres vibrantes et loin d’ être si classique que ça, le Chant des Pavillons est un trio à cordes et à la rue. L’errance de trois musiciens et leurs phénomènes sans âge et sans frontières : un violon-trompette, un violoncelle-trombone et une contrebasse-hélicon. De ce concert déconcertant naît un son minéral en mouvement, une promesse de liberté. Une virée musicale aussi imprévisible et cocasse que sensible et lumineuse.

Atelier d’impression à partir de tampons à l’image des collections du Musée de la Princerie pour une grande œuvre participative.

Rudimentaires empreintes du vivant, ces groupes d’individus font traces de la vie quotidienne. Tels des reflets persistants à la surface de l’eau, ils témoignent d’une forme de sociabilité mise en suspens par la crise que nous traversons.
A la fois similaires et changeantes, ballotées en tous sens par une brise matinale ou dupliquées dans une eau miroir par la grâce d’un crépuscule, ces sculptures flottantes animées interpellent et font parler les usagers et badauds de la ville qui les découvrent sur leur chemin. Pendant la journée, les sculptures jouent avec les lumières saisonnières et se chargent de l’énergie nécessaire pour devenir luminescentes dès la tombée de la nuit.

En journée, les sculptures jouent avec les lumières saisonnières et se chargent d’énergie pour s’allumer dès la nuit.

Ici, un groupe oscille au moindre souffle d’air, là, un duo se fait face…, rudimentaires empreintes du vivant semblables aux reliques d’un musée d’anthropologie, elles évoquent les mutations individuelles et communautaires d’une société en plein bouleversement.

« Les dames de l’EHPAD des Mots Bleus font voler en éclat les murs de l’institution.

Branchées de toute part, elles investissent la rue en musique, avec la joyeuse détermination de remettre les Vieux sur la place publique. »

Contorsionner le corps jusqu’à provoquer les déséquilibres, étirer les ralentis pour accueillir le silence, la suspension… et arrêter le temps. Inviter au voyage dans l’espace confiné et restreint, se conforter dans certaines allures ludiques, chercher jusqu’à se perdre…

Pénétrez dans l’illustrissime théâtre des frères Sabbattini, l’une des plus belles et sans doute des plus petites salles à l’italienne d’Europe. Revivez, à travers les aventures du Baron de Münchhausen, les grandes émotions du théâtre du XVIIIème siècle ! Ce spectacle est un hommage aux régisseurs et techniciens qui ont mis leurs différents savoir-faire au service de la magie théâtrale.

Monsieur et Madame POISEAU sont deux vieux comme on se rêve, qui se connaissent par cœur et s’amusent sans cesse à bouleverser leurs habitudes. Pour les 75 ans de Madame, Monsieur POISEAU a vu les choses en grand : il lui a organisé un goûter d’anniversaire surprise. En ramenant secrètement dans la rue toute une partie de leur cuisine pour préparer leur recette favorite, il a tout prévu, ou presque… Sa femme, lui-même et vous, n’êtes pas au bout de vos surprises : des rires, des farces, une recette décadente vont ponctuer ce goûter d’anniversaire qui va se révéler hors du commun.

Six acrobates s’emparent d’une marelle métallique géante et se lancent dans une série de figures musclées au rythme effréné d’une musique jouée en live. Leur spectacle nous plonge dans une ambiance de cour d’école ludique, entraînante, irrésistible. Avec comme seules règles du jeu l’audace et l’inventivité, ce joyeux collectif s’élance et nous adresse un défi : celui de s’amuser et de s’élever ensemble !

Marguerite fête son 40ème anniversaire et pour l’occasion elle a invité toute sa famille et ses amis. La décoration, la musique et le gâteau sont au rendez-vous mais un cadeau va bouleverser la suite des évènements. Entre maladresse et tendresse, elle donnera tout pour échapper ou pas à son destin.

Marguerite invite les spectateurs à jouer un rôle et offre des moments d’improvisation succulents et uniques qui raviront toute la famille !

Nous croyons que dans la simplicité il y a l’essence et la possibilité de ressentir plus

largement tout ce qui n’est pas vu.

Un spectacle qui, avec son apparente simplicité, nous rapproche de la complexité de l’acceptation de soi. Le thème est votre présence, notre présence. Le sujet est le corps. Le voyage de trois corps (la femme, l’homme et le vélo) et leur dépouillement pour arriver à l’essentiel : le corps lui-même. Ce corps dans lequel on vit et avec lequel nous entretenons une relation.

Cette relation est-elle confortable pour vous ? La changeriez-vous ?

Jeu de construction instinctif qui dessine la danse et danse le dessin. Des corps bougent. Des machines bougent. Des mouvements se dessinent. Des dessins bougent. Des sons circulent. Des échangent se trament. Des objets s’envisagent. Des rencontres apparaissent. Des images se façonnent. Des équilibres se tentent. Des énergies cheminent main dans la main, pied à pied, tête en l’air… Toujours mobiles, nos trajets se tissent et nos gestes s’imprègnent le temps d’un espace ouvert, l’espace d’un temps suspendu.

Quand le joueur devient marionnettiste manipulateur de chimères… De drôles de personnages tout droit sortis de l’imagination d’un Geppetto des temps modernes s’animent sous nos yeux. Nées d’un assemblage de matériaux hétéroclites, ces marionnettes à taille humaine prennent vie sur le fil de nos rêves.

Léon nous plonge dans une soirée mémorable du XIXe siècle, où une représentation de l’opéra Norma de Bellini va se voir perturbée de façon inattendue par une partie du jeu d’échecs. Une performance jubilatoire, à travers des personnages hauts en couleur, dans les arcanes d’un jeu millénaire.

Une expérimentation poétique qui défie l’espace et le mouvement. Perceptions est un voyage au cœur d’une structure en diffraction, appelée l’Oculaire, objet sculptural inspiré par l’univers quantique et les films de science-fiction. Les corps se croisent, se cherchent, se séparent, se testent dans un jeu d’équilibre et de déséquilibre permanent. Les personnages en quête de découvertes deviennent tour à tour chercheurs, explorateurs ou encore savants fous. Ils s’affranchissent collectivement de cette matière et de cet espace en mouvements. Des dimensions parallèles, une réalité d’ordinaire invisible à l’œil nu ne tarde pas à émerger dans l’Oculaire. À mesure que l’exploration des hommes évolue, le monde suspendu se transforme et devient imprévisible. Les cordes vibrent, la matière gravite et se diffracte, laissant le vide exister.Le spectateur au regard suspendu perd peu à peu ses repères pour laisser place à d’autres réalités. Un voyage hypnotique et vibrant.

La relève ! Une nouvelle génération d’artistes circassiens débarque à Verdun et vous n’allez pas en revenir ! Le Cirk’Eole, partenaire de Transversales et du Grand Festival, vient présenter de jeunes artistes issues de sa dernière promotion. L’occasion rêvée de découvrir en exclusivité les nouveaux artisans d’un art engagé et innovant. À Verdun, on supporte le cirque de demain !

A 15 m au-dessus du sol, ce spectacle aérien, nous indique que la solidarité d’un groupe prend toute sa mesure.

L’individualité est à prendre en compte car chacun de nous est singulier, mais l’individualisme peut s’avérer dangereux car toute initiative personnelle peut déstabiliser le groupe si elle ne considère pas les contraintes de celui-ci.

Certains y verront une allégorie criante de la société actuelle, d’autres une  manifestation de défiance, rebelle aux lois de la gravité.

Mais tous, petits et grands, y goûteront au plaisir enivrant du vol partagé.

Depuis 1998, Le PIGSWANA ORCHESTRA, la Fanfare Unique et Ôfficielle du Pigswana, contribue (très humblement) au bien-être de l’humanité !

Le génie de leurs musicales et originales compositions, leur enthousiasme frénétique, leur affabilité distinguée devraient leur valoir prochainement, et à coup sûr, d’être le premier orchestre de rue à être inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Un personnage hybride entre conteur, bricoleur, et vendeur de foire, nous raconte son histoire à la mémoire des vacances qu’il passait chez ses grands-parents. Il se remémore comment sa mamie a su lui faire apprécier les légumes en lui sculptant un sifflet dans une carotte. Via le conte vivant et burlesque, plonger dans l’univers non lointain de nos aïeux : entre savoir-faire et décalages.

Répliques est un duo entre danse et acrobatie. Autour d’une scénographie originale composée de deux cubes motorisés progressant sur des rails circulaires, les interprètes cherchent l’équilibre et la suspension pour frôler le public et l’emporter dans le mouvement. Chacun sur une plateforme, les interprètes se font face, se regardent, s’imitent, réagissent en fonction de l’autre. Les interprètes s’imitent, se regardent, se font face, réagissent en fonction de l’autre. C’est un face à face masculin où la notion de déséquilibre est dominante. Le spectacle est conçu sous forme de ripostes, en crescendo. C’est une quête joyeuse de dépassement de soi, d’esbroufe pour voler, d’écoute pour avancer. Une battle entre deux hommes qui à force d’ingéniosité vont finir par s’unir pour aller plus loin.

Le son parle à notre corps, il sait aussi calmer l’esprit. Confortablement installé, laissez-vous emporter par la vibration sonore et musicale. Détente ou sommeil à la clé !

Portés par une musique envoûtante interprétée en live, deux acrobates trampolinistes donnent corps à des témoignages sonores d’inconnu·es qui relatent leur vie et leurs rêveries intimes. Deux corps qui se suivent, changent de cap, naviguent entre confrontation et solitude au son du violon et des nappes electro de la musicienne – sans jamais se perdre. Une conversation chorégraphique, musicale et théâtrale touchante qui vient bousculer toutes nos sensibilités.

Seule, Suzie s’arme de ses pinceaux pour peindre un instant et partager sa vie à travers une œuvre classique. Elle profite ainsi de la lumière que lui offre le regard du public pour combler un vide. Entre les bâches et les toiles, Bach résonne. Suzie, c’est une ode à la vie, un hommage au quotidien de chacun qui porte un masque pour ne pas montrer ses manies, ses failles et ses blessures. Suzie se dévoile par la richesse de ses maladresses. Et si l’extraordinaire n’était que ce que l’on met en lumière de manière éphémère. Bienvenue au vernissage, soyez sages.

Taratati c’est une petite fanfare de poche qui fanfaronne. Improvisation et théâtre de situation spontané, facéties absurdes et décalées, on dirait une nuée d’oiseaux aux sons loufoques qui se pose où bon lui semble. 

Les voilà lâchés dans la ville, ces bacs à sable du quotidien pour gamins mal éduqués mais toujours amusés.

De l’absurde, des désaccords, du jeu, du jonglage et une légère touche de violence. Basé sur la relation qu’on les deux artistes entre eux, Unnecessary Violence vous invite dans une pièce pleine de rivalité et de compétition, mais toujours sur un ton humoristique et léger. Ce spectacle est fortement inspirée par le comportement des enfants qui s’amusent à tester leurs limites ainsi que celle de leur entourage. Et après tout, peut-être qu’en tant qu’adultes nous ne sommes pas tant différents des enfants !

Fondée en 2008, l’ANPU (l’Agence Nationale de Psychanalyse Urbaine) s’est vue confier la délicate mission de psychanalyser le Monde Entier. Étape incontournable de cette délicate mission, Verdun reste un cas unique de résilience et de résistance face aux épreuves qu’elle a subies durant toute son histoire… En-est elle tout à fait remise?… Existe-t’il des séquelles au plus profond de son inconscient?…. Est- ce que ce projet de famille recomposée en forme de

Communauté d’Agglomération a-t’il contribué à la rassurer psychiquement? C’est à toutes ces questions que nous nous efforcerons de répondre au travers d’une conférence désopilante avec des images à couper le souffle en deux ou trois suivant les cas ..

Psycho-illustratrice : Clémence Jost Psychanalyste urbain : Laurent Petit
Agente de liaison administrative : Anne Lalaire Contrôleuse aérienne : Fabienne Quéméneur

Zinzin Biplace, c’est un duo de poètes, l’un au son, l’autre à la voix !

Parfois, tout se mélange. Un moment suspendu sous le signe de la poésie et de l’improvisation. Une bulle hors du temps qui vient bousculer nos imaginaires.